« Ce qui me revient en mémoire à propos de Djerbahood, ce sont deux lieux qui me sont familiers. Le premier est le village de mes parents au nord de la Tunisie où dans mon enfance je séjournais l’été : il se dégage du village d’Erriadh la même quiétude. Le deuxième est l’atelier, où les notions d’espace et de temps disparaissent pour laisser place à la création. Ces deux lieux pour moi s’entremêlent, peut-être aussi parce que les villageois y deviennent amateurs d’art et les chercheurs d’images deviennent le temps d’un instant des villageois. »
BECHIR BOUSSANDEL (2022)