« Dans Le Peintre de la vie moderne, Charles Baudelaire écrivait:
« Pour le parfait flâneur, pour l’observateur passionné, c’est une immense jouissance que d’élire domicile dans le nombre. dans l’ondoyant, dans le mouvement, dans le fugitif et l’infini. Être hors de chez soi et pourtant se sentir partout chez soi; voir le monde, être au centre du monde et rester caché au monde »,
en associant la flânerie à un esprit indépendant, passionné et impartial. »
SEAN HART (2014)
Crédits Photos : Sean Hart